Archives mensuelles : novembre 2013

Moi, Christiane F., la vie malgré tout

Moi, Christiane F., la vie malgré tout

Pour faire suite à mon billet du 16 octobre concernant Moi, Christiane F, 13 ans, droguée, prostituée voici un petit compte rendu de son deuxième livre, Moi, Christiane F, la vie malgré tout. Ce livre est né de plusieurs entretiens avec la journaliste Sonja Vukovic. Christiane, aujourd’hui âgée de 51 ans, nous raconte quelle a été sa vie depuis la sortie du premier livre en 1978 puis du film en 1980 , qui ont tous deux eu un succès considérable.

 

christianeFA travers ce récit riche en événements, parfois étonnants et souvent émouvants, on sent très vite que la notoriété et l’argent ont joué un rôle majeur dans le destin de Christiane. Elle-même en est consciente, sa vie aurait été entièrement différente sans le succès du livre, les rencontres qu’il a engendrées et l’argent qu’il a généré. Les retombées financières, que la jeune femme a toujours su placer correctement, lui permettent encore de vivre aujourd’hui sans autre source de revenu. Ca peut paraître très trivial à évoquer mais il est évident que le fait de ne pas avoir besoin de travailler pour vivre décemment est un élément capital et que son passé de « junkie star » a eu des répercutions sur son histoire.

Je ne vais pas ici détailler tout le chemin que Christiane a parcouru depuis son adolescence, essentiellement pour ne pas spoiler ceux qui souhaitent lire ce livre mais aussi parce que ce serait trop long. Plusieurs articles parus dans la presse ou sur le net ces derniers temps ont cependant divulgué quelques infos que je me permets de reprendre. D’une part, si dans le précédent bouquin nous quittions Christiane complètement sevrée de l’héroïne, je ne dévoile pas un énorme secret en écrivant qu’elle n’est pas toujours restée clean. Bien sûr elle n’a plus eu besoin de se prostituer et de vivre dans la rue, mais la drogue a parfois refait surface dans sa vie et elle a traversé des périodes difficiles. D’autre part, Christiane est aujourd’hui sous substitution et son état de santé est délicat. Elle souffre notamment d’une hépatite qui la rend fragile et provoque d’autres dérèglements. On est forcément déçus de voir qu’elle a « replongé » et qu’elle a connu un bon paquet de souffrances au cours des 35 dernières années. En même temps, cela nous permet de réaliser à quel point l’addiction aux drogues dures colle à la peau et comme il est difficile de s’en détacher. Christiane évoque également les raisons psychologiques qui peuvent « faciliter » une conduite addictive, et son exemple montre bien qu’une enfance difficile couplée à une toxicomanie commencée très jeune peuvent avoir des conséquences sur toute une vie.

En ce qui concerne le livre en lui-même, j’avoue avoir eu un peu de mal au début. Je dirais que pendant le premier tiers, j’ai eu l’impression d’un inventaire égocentrique des aventures de Christiane F. J’avais le sentiment de lire le récit d’une femme orgueilleuse qui aimait tirer la couverture à elle et nous en mettre plein les yeux en déballant ses rencontres avec des stars et en mettant en avant sa débrouillardise. Je crois aussi que j’étais en colère de la voir replonger… Et puis le texte semble ralentir, les sentiments de Christiane sont un peu plus développés et analysés, et finalement j’ai pris plus de plaisir à le lire. J’ai retrouvé l’esprit vif et incroyablement lucide de l’adolescente qui nous avait tellement bouleversés il y a 35 ans, et l’empathie a une nouvelle fois fonctionné. La vie de Christiane est rocambolesque, violente, excessive et bourrée d’émotions. Cette fois encore le récit nous tient en haleine ! Ce deuxième volume nous apprend également pas mal de choses sur les époques et les modes que traverse l’auteure : la scène zurichoise, le punk, les hippies, etc. Les pages les plus émouvantes sont sans conteste toutes celles qui concernent son fils Phillip. Cet enfant qui a aujourd’hui 17 ans lui a toujours donné une force étonnante et sa façon d’évoquer sa maternité est incroyablement touchante. Christiane ressent un amour immense pour son fils et bien que son existence soit à mille lieues de la mienne, j’arrive à me retrouver complètement dans sa manière d’évoquer sa maternité. J’ai vraiment pris plaisir à la découvrir prôner maternage, écoute des émotions et éducation non violente !

Christiane F., la vie malgré tout nous plonge dans un univers qui ne nous est pas familier (pour la plupart d’entre nous du moins !) mais qui parvient totalement à nous toucher à travers la figure de Christiane. Si ses rechutes peuvent parfois provoquer un peu de déception, sa lucidité, son intelligence et sa finesse d’esprit nous charment et nous interpellent. Malgré les années, la maladie et une vie tumultueuse, elle a su conserver ces qualités qui nous avaient déjà marqués lorsqu’elle était ado. Par ailleurs, comme pour le premier livre, l’écriture est limpide et agréable. Je ne sais pas si c’est le même traducteur (je n’ai pas cherché à vérifier), si la journaliste qui a mené les entretiens a fait l’effort de les retranscrire de la même façon que Horst Rieck et Kai Hermann à l’époque, ou si cela tient à la manière de raconter de Christiane, mais le ton est sensiblement le même. Pour avoir relu Moi, Christiane F, 13 ans, droguée, prostituée il n’y a pas longtemps, j’ai vraiment eu le sentiment d’une continuité. Plus le livre avançait, plus j’avais l’impression de retrouver une vieille connaissance ! Evidemment, cet aspect contribue à rendre Christiane si sympathique et à partager si intensément ses émotions.

En toute franchise, ce deuxième volume n’a pas la même force que le premier et nous laissera un souvenir beaucoup moins fort. Je ne vous conseillerais pas nécessairement de courir l’acheter, mais plutôt de ne pas hésiter à le lire si l’occasion se présente. Pour celles et ceux qui, comme moi, ont été bouleversés par l’adolescence de Christiane et pour lesquels le premier opus est devenu un livre culte, l’intérêt est plus grand. A 16 ans je me demandais ce que Christiane était devenue et je suis bien contente de n’être pas restée sur un sentiment d’inachevé. Il y a un brin de curiosité (pas forcément malsaine !) dans tout cela, mais également l’envie d’accompagner encore un peu celle qui a marqué des générations de lecteurs.

Londres en amoureux

Londres en amoureux

Nous venons de passer 3 jours à Londres, rien que Papa-des-Champs et moi, et… c’était bien !!!

Je l’avais déjà évoqué, il était nécessaire pour nous de faire un break. Nous adorons notre vie comme elle est, et notamment le fait de passer beaucoup de temps avec nos enfants. Notre mode de vie nous permet de partager tout notre quotidien avec eux (le réveil, les 3 repas, le coucher, les a/r à l’école, etc) et finalement rares sont les moments où nous sommes seuls à l’extérieur de la maison. Nous adorons aussi faire plein de choses ensemble le week-end et profiter à fond de ces précieux moments en famille. Seulement, et aucun parent ne dira le contraire, s’occuper d’enfants est réellement fatiguant ; surtout quand ils sont petits et qu’ils ont besoin d’une attention de chaque instant. Alors forcément on a parfois besoin de souffler et de ne penser qu’à nous. Poser le quotidien pour se retrouver en couple, sans horaires et sans impératifs, ne serait-ce que trois jours par an, c’est salvateur ! D’une ça repose, de deux ça entretient la petite étincelle qui fait que nous sommes toujours amoureux l’un de l’autre, et de trois on en profite pour découvrir des jolies choses. Nous avons toujours beaucoup aimé voyager ensemble, marcher des heures dans des villes inconnues, visiter des endroits sympa ou rire ensemble d’avoir si mal choisi un resto ou un musée… Retrouver ces petits bonheurs une fois par an est ainsi une excellente occasion de recharger nos batteries et faire le plein de complicité !

Oui, je sais, prendre des photos de bus à Londres c'est surfait...

Oui, je sais, prendre des photos de bus à Londres c’est surfait…

Bien sûr nous avons pensé fort à nos enfants, nous regardions souvent l’heure pour savoir ce qu’ils étaient en train de faire, et nous attendions impatiemment de leur téléphoner. J’avoue avoir eu hâte des les appeler chaque jour, et me sentir incroyablement plus légère après avoir pu leur parler et savoir que tout allait bien. Vendredi, j’avais même un peu le cafard en attendant de pouvoir téléphoner (j’attendais le retour de l’école de Poussin !) et j’ai vraiment eu un regain d’énergie et de joie de vivre juste après avoir raccroché. Par chance, maintenant que leurs grands-parents habitent à côté de chez nous, ils peuvent  venir les garder à la maison, ce qui est rudement pratique. Poussin et Belette gardent ainsi leurs habitudes et leurs repères, Papi et Mamie ont tout sous la main pour s’occuper des petits, et nous sommes beaucoup plus sereins. Je n’avais aucune inquiétude pour Poussin cette fois, mais je me demandais comment régirait Belette qui n’est pas habituée à mon absence et qui ne peut pas encore verbaliser ses ressentis ou émotions. Et bien elle a passé un excellent week-end ! Comme à son habitude elle a été souriante, curieuse, rusée et intrépide, sans chagrin ni angoisse. Comme prévu, son grand frère a lui aussi été égal à lui-même et de bonne composition. Si nous avons passé 3 jours de bonheur à prendre du bon temps, nous avons également été très heureux de retrouver nos petits tout doux et de les câliner / bisouiller / admirer à notre retour !

En ce qui concerne Londres, ce fut une jolie surprise. Nous n’y étions jamais allés et pour tout dire, initialement cette ville ne nous attirait pas plus que ça. Elle se trouvait toutefois sur notre liste d’endroits « à voir », et la possibilité de s’y rendre rapidement en Eurostar nous a décidés pour cette année. Nous avons été enchantés de découvrir une ville agréable où il fait bon se promener, même au milieu de la foule. C’est d’ailleurs un aspect qui nous a particulièrement marqués, le fait que les gens soient zen, et que même dans un métro bondé il n’y ait ni agressivité ni ambiance pesante. C’était vraiment plaisant et cela a nettement contribué à nous faire aimer la ville. Si l’architecture londonienne en elle-même ne nous séduit pas plus que ça, et que nous sommes habituellement moyennement emballés par le mélange ancien/moderne, nous avons malgré tout trouvé un certain charme à Londres. Nous n’avons pas été éblouis comme nous avons pu l’être à Prague ou à Vienne, mais à part quelques exceptions nous avons apprécié ce que nous avons vu et finalement il s’en dégage une certaine harmonie. Nous avons particulièrement aimé voir la ville de haut, en nous attardant sur ses ponts.

En bas des ponts aussi c'est joli !

En bas des ponts aussi c’est joli !

Nous avons également eu la chance de profiter d’un temps merveilleux et de visiter Londres sous un magnifique ciel bleu ! Nous avons eu le temps de faire tout ce que nous voulions tout en prenant notre temps et en nous offrant une petite grasse mat » le dernier jour. Nous avons trouvé de chouettes endroits pour manger ou prendre un verre, nous avons bien ri en observant quelques horreurs dans les magasins, et nous avons halluciné de voir autant de gens en t-shirt alors que d’autres avaient sorti moon-boots et cache-oreilles. J’avais pris soin de mettre mes chaussures les plus confortables, sans  réaliser que leurs semelles étaient devenues si fines que j’ai fini le séjour avec une énorme ampoule sous chaque pied, et une cheville enflammée d’avoir voulu compenser… Mais ça ne m’a pas empêchée de profiter de nos moments en amoureux et de poursuivre l’aventure ! Nous avons terminé notre samedi soir dans un pub à côté d’un monsieur très bizarre et qui s’est enfilé 3 pintes alors que j’avais du mal à en terminer une, qui a commencé par trinquer avec son ami imaginaire et qui a fini par lui parler à voix haute tout en chantant un peu dès qu’une chanson lui plaisait… Au bout de trois jours je n’ai toujours pas acquis le réflexe de regarder à droite puis à gauche en traversant, et je suis presque passée pour une dangereuse criminelle lorsque le guichetier de la gare a remarqué que la signature sur ma carte d’identité n’avait rien à voir avec celle que j’ai griffonnée sur le formulaire nous permettant de récupérer l’argent mis sur notre carte de transport… Tout ça parce qu’en vrai j’ai deux signatures, une longue et sérieuse avec mon nom presqu’ en entier pour signer les documents officiels et les chèques, et une à l’arrache pour les colis à récupérer, les mots de l’école et les trucs sans importance de mon ancien boulot. Nous avons ricané bêtement, nous nous sommes donné la main et nous avons même un peu râlé quand nous n’étions pas d’accord sur le chemin à prendre.

Hein qu'il est mignon ?! :-)

Hein qu’il est mignon ?! :-)

C’était vraiment agréable d’être déchargés de tout pendant trois jours, de faire tout ce que nous voulions, et de nous occuper que de nous. Si mon Poussin et ma Belette étaient en permanence dans mon coeur et très souvent dans ma tête, c’était sacrément bon de passer du temps en étant surtout l’amoureuse de leur papa. Le fait d’être leurs parents a forcément changé notre façon de voyager, même lorsque nous ne sommes que deux. L’insouciance n’est plus exactement si insouciante, une foule de détails nous évoque un souvenir ou une pensée pour nos enfants, nous cherchons des cadeaux qui leur feraient plaisir… Et j’aime ça ! J’aime profiter d’une virée en amoureux tout en me demandant comment ils vont, j’aime me lever en ne m’occupant que de nous tout en pensant à ce qu’ils sont en train de faire, j’aime prendre une photo en imaginant qu’elle les fera rire, et j’aime par dessus tout être l’amoureuse de leur papa tout en étant devenu leur maman.

Une Cabane pour les Hérissons !

Une Cabane pour les Hérissons !

Dès l’automne, les hérissons anticipent l’arrivée du froid en constituant des réserves de graisse et en cherchant un abri pour hiberner. Si ces mignonnes petites bestioles vous paraissent nombreuses et très présentes dans nos campagnes, en réalité cette espèce est aujourd’hui presque menacée de disparition. Je l’ai lu avec étonnement dernièrement : 80% des petits hérissons n’atteindront pas l’âge adulte, et l’espérance de vie d’un hérisson est en moyenne de 1 an, alors que leur constitution pourrait leur permettre de vivre entre 7 et 10 ans. Si vous êtes comme moi et que ces chiffres vous attristent, sachez qu’il est cependant assez facile de filer un petit coup de main à nos amis plein de piquants, en les aidant à hiberner.

Le moyen le plus simple est de lui proposer une cabane, au sec et loin de tout danger. On en trouve dans le commerce, mais d’une les prix sont un peu prohibitifs, et de deux c’est beaucoup plus rigolo de la fabriquer soi-même. Ici, nous avons choisi d’utiliser du bois de palette et de faire participer Poussin. L’objectif était d’utiliser des matériaux que nous avions déjà, aussi bien par économie que par écologie !

Equipement nécessaire :

  • des  planches de bois (l’équivalent de 2 grosses palettes)
  • des clous
  • un morceau de tuyau PVC ou inox diamètre 120-125mm
  • de la lasure pour boiseries extérieures

D’après les infos collectées ici et là (essentiellement sur le Net), Papa-des-Champs a modélisé un plan que voici :

Extérieur

Extérieur

Intérieur

Intérieur

La cabane se compose donc d’une entrée (12x12cm) prolongée par un couloir de mêmes dimensions, qui évitera aux courants d’air de rentrer et d’enrhumer les hérissons ;-) Le couloir débouche sur une « chambre » que nous avons garnie de paille pour plus de confort et d’isolation. Au-dessus du couloir nous avons fixé une planche sur laquelle peuvent tenir des gamelles. Un petit rebord empêche les petits gloutons maladroits de les faire tomber ! Au menu : croquettes pour chat et eau. SURTOUT PAS DE LAIT DE VACHE !!! Les hérissons en raffolent mais ne le digèrent pas et peuvent en mourir. A noter que le coup de pouce alimentaire doit se limiter aux périodes des premiers froids (fin de l’automne) et à la sortie de l’hibernation (printemps). Le toit de la cabane (amovible) devra être étanche. Chez nous, comme tout l’extérieur de la cabane, il a été lasuré. Le tuyau en PVC ou inox est fixé à l’entrée de la cabane. Il permet d’en limiter l’accès aux seuls hérissons. En clair, il empêche les gros chats gourmands de s’introduire dans l’abri et de se goinfrer de croquettes !

Avant l'aménagement intérieur

Avant l’aménagement intérieur

L'intérieur de la cabane, avec le couloir dans le fond

L’intérieur de la cabane, avec le couloir dans le fond

Tadam ! Avant la lasure et la pose du tuyau, ça donne ça.

Tadam ! Avant la lasure et la pose du tuyau, ça donne ça.

La cabane terminée s’installe à l’abri du vent, dans un coin isolé. Idéalement sous une haie et / ou au fond du jardin. Si possible vous pouvez l’isoler du froid en la camouflant sous une couche de feuilles mortes.

Je ne vous le cache pas, la construction de la cabane a pris un peu de temps chez nous et s’est étalée sur une période allant d’août à fin octobre. Essentiellement parce que nous avions mille autres choses à faire en parallèle, mais aussi parce que Papa-des-Champs est trèèèès méticuleux. Quand je vois le temps qu’il peut passer à construire et bichonner un abri à hérissons, je comprends pourquoi la fabrication du lit de bébé de Poussin (qui est maintenant celui de Belette) a été si longue ! Un jour je vous conterai d’ailleurs l’histoire de cette petite merveille. En ce qui concerne les hérissons, il faut dire aussi qu’en faisant participer un enfant de 3 ans et demi c’est forcément un peu plus long. Il a un temps de concentration limitée (en gros au bout de 30mn il a tendance à se disperser) et s’il se débrouille très bien avec un marteau il est moins rapide qu’un adulte. De son côté, il a adoré cette expérience. Le fait de bricoler et de manipuler des outils lui plaît beaucoup, l’idée de prendre soin des hérissons l’enchante, et il a pu apprendre plein de choses. Comprendre qu’il faut prendre des mesures, les reporter, scier au bon endroit, et qu’avec trois bouts de bois on obtient une jolie cabane, c’est énorme pour les petiots !

Notre cabane est donc installée depuis une petite dizaine de jours, et nous espérons très fort qu’elle sera habitée. Il paraît que parfois ce sont des mamans hérissons qui viennent s’y installer et qu’au printemps elles ont des bébés !

Evidemment avec les feuilles on ne voit pas grand chose... Surtout aujourd'hui avec de la pluie et un ciel tout gris !

Evidemment avec les feuilles on ne voit pas grand chose… Surtout aujourd’hui avec de la pluie et un ciel tout gris !

Si mes explications ne sont pas claires (c’est fort probable !) et que vous avez des questions, n’hésitez par à me contacter pour un supplément d’informations. Au besoin je peux passer le flambeau à Papa-des-Champs pour tout ce qui concerne la technique !

INFO HERISSONS : Il s’agit d’une espèce protégée, dont la détention et le transport sont ainsi interdits. Si vous trouvez un hérisson blessé ou mal en point, mettez-le au chaud et à l’abri dans un carton avant de contacter l’Office national de la chasse et de la faune sauvage ou le Centre de sauvegarde de la faune sauvage le plus proche.

 

Petit Bestiaire Rural

Petit Bestiaire Rural

Depuis que nous habitons à la campagne (15 mois déjà !) nous croisons régulièrement toutes sortes d’animaux. Si l’appareil photo est à portée de main, nous en profitons ! Il y a des animaux classiques, des qui font peur, d’autres qui étonnent, certains qui écœurent, des tout mignons…

P'tit oiseau qui avait fini sa course dans une baie vitrée...

P’tit oiseau qui avait fini sa course dans une baie vitrée…

Vers octobre, quand l'été s'achève les coccinelles viennent s'abriter par dizaines dans la maison !

Vers octobre, quand l’été s’achève les coccinelles viennent s’abriter par dizaines dans la maison !

Notre haie peuplée d'oiseaux ! (et toujours pleine de piaillements !)

Notre haie peuplée d’oiseaux ! (et toujours pleine de piaillements !)

Pic Mar s'aventurant dans les escaliers de la cave

Pic Mar s’aventurant dans les escaliers de la cave

Mulot (campagnol ?) sauvé des griffes de notre chat...

Mulot (campagnol ?) sauvé des griffes de notre chat…

Papillon qui essaie de retrouver la sortie !

Papillon qui essaie de retrouver la sortie !

Scutigère Véloce (plus communément appelé Mille Pattes à la con) qu'on trouve souvent dans les recoins humides... Sous la douche c'est toujours un plaisir !

Scutigère Véloce (plus communément appelé Mille Pattes à la con) qu’on trouve souvent dans les recoins humides… Ici, traqué dans le bureau de Papa-des-Champs

Parfois, on ouvre une fenêtre et on tombe nez à nez avec une vache !

Parfois, on ouvre une fenêtre et on tombe nez à nez avec une vache !

La danse des oiseaux (ici des mésanges) venant dépouiller notre mangeoire en hiver !

La danse des oiseaux (ici des mésanges) venant dépouiller notre mangeoire en hiver !

Notre hameau étant entouré de bois, les cervidés sont fréquents par chez nous, mais souvent trop rapides pour faire de jolies photos !

Notre hameau étant entouré de bois, les cervidés sont fréquents par chez nous, mais souvent trop rapides pour faire de jolies photos !

Scarabée, plutôt fréquent l'été par chez nous !

Scarabée, plutôt fréquent l’été par chez nous !

Des grosses, des petites, des qui font ch... à tisser leurs toiles partout, les araignées pullulent à la campagne !

Des grosses, des petites, des qui font ch… à tisser leurs toiles partout, les araignées pullulent à la campagne !

Jolie Salamandre se promenant sur une bûche de bois.

Jolie Salamandre se promenant sur une bûche de bois.

Le hameau ne manque pas non plus de chats, moutons, ni même de poney… Cependant les animaux que l’on croise encore le plus chez nous, ce sont bien évidemment le Poussin et la Belette !!!